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L’édito de Bénédicte Durand, DG d’Altheora, avant Jour E

« C’est désormais une lapalissade de dire que, quel que soit notre rôle dans la société, nous sommes confrontés au défi de la transition climat. En tant qu’industriel, nous avons une responsabilité : nos entreprises, implantées depuis toujours sur nos territoires, sont des organismes vivants, évoluant en symbiose avec leur écosystème local.

Nous nous assignons le devoir d’être attentifs à nos rejets, au traitement de nos déchets, à notre pollution sonore, entre autres. En contrepartie, nos voisins ont conscience que nous œuvrons pour l’attractivité de notre région, l’emploi local, l’inclusion des personnes éloignées de l’emploi… Autant de sujets qui sont désormais rassemblés dans les politiques RSE.

Pour moi, l’enjeu majeur de la décarbonation de l’industrie est celui du modèle que nous souhaitons incarner : allons-nous choisir d’aller vers une décroissance sclérosante et à terme, mortifère, ou préférerons-nous la voie de la performance décarbonée, de l’innovation respectueuse, de la croissance durable ? Mon choix pour Altheora est fait depuis longtemps ! Ce n’est certes pas le plus aisé. Il mobilise de fortes doses d’énergie, de créativité, d’enthousiasme partagé et de courage industriel mais la perspective de participer à l’amélioration de notre monde vaut bien cette peine, non ? »

Bénédicte Durand, directrice générale d’Altheora

Tout savoir sur Jour E, l’événement dédié à la transition écologique et énergétique, le 4 avril à Paris

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