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La filière électronique française portée par France Relance 

La ministre déléguée à l’Industrie Agnès Pannier-Runacher et le Comité stratégique des Industries Electroniques ont signé un avenant au contrat de la filière pour renforcer le soutien de l’Etat à son développement. 

Si la crise sanitaire a chamboulé l’industrie tout en accélérant sa transformation, elle a aussi remis en lumière une problématique qui anime le Coq Bleu depuis des années : celle de la souveraineté de ses filières. Aujourd’hui, c’est au secteur de l’électronique que cette ambition est associéeau même titre que d’autres axes forts du plan de relance.  

La filière électronique soutenue par France Relance 

Signé le 15 mars 2019, le contrat de filière électronique a été complété d’un avenant au début du mois, qui propose trois nouveaux axes d’actions liés aux enjeux de France Relance. Les promesses :
– les projets d’innovation de transition numérique et énergétique seront poussés, 
– l’Etat renforcera son implication en soutenant les implantations industrielles, la création de filières d’avenir et le développement de compétences clés pour assoir la souveraineté du secteur,
– la coopération sera renforcée pour favoriser un recrutement plus inclusif, ouvrant notamment au maximum ses emplois aux jeunes, publics en reconversion/insertion et aux femmes.  

Dans le même temps, la ministre déléguée à l’Industrie a annoncé la sélection de 105 nouveaux projets lauréats de l’appel à projets « résilience » de soutien aux « secteurs critiques » dont l’électronique fait partie. 70 entreprises de la filière sont aujourd’hui soutenues par France Relance, pour un montant total de 124 millions d’euros d’investissements.  

« La crise sanitaire et ses répercussions économiques ont éclairé d’une lumière crue les conséquences du laisser-faire et du manque d’investissements qui ont trop longtemps prévalus dans des domaines critiques comme l’électronique. Cela confirme que notre stratégie de reconquête industrielle engagée dès 2017 sous l’impulsion du président de la République et avec Bruno Le Maire était la bonne », explique Agnès Pannier-Runacher dans le communiqué.  

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